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Compléments alimentaires |
7 mars 2022 |
Saviez-vous que l’inositol est un sucre indispensable à la vie ? Mais où trouvons-nous cette molécule organique ? L’inositol est présent dans toutes les cellules de l’organisme et se concentre davantage dans les cristallins, les reins, ainsi que dans le système nerveux central. L’inositol se trouve aussi naturellement dans certains aliments comme :
Comme on a pu voir ci-dessus, l’inositol vient en partie de l’alimentation, mais peut-être synthétisé par l’organisme sous forme de myo-inositol. Il entre dans la structure des membranes cellulaires et aide à optimiser les fonctions vitales du corps.
L’opékaferrine est un complément alimentaire à base de 1100 mg d'inositol, de Vitamine B9, de Zinc et de Vitamine D et B6. Voyons ensemble, ce qu’il contient :
Le syndrome des ovaires polykystiques, (polykystose ovarienne), plus communément appelé le « SOPK » est une maladie hormonale, connue principalement chez les femmes en âge de procréer. Plus précisément, il s’agit d’un dérèglement hormonal d’origine ovarienne et/ou centrale, c’est-à-dire, au niveau du cerveau. Cela entraine une production excessive d’androgènes, en particulier, de testostérone, normalement produite en petite quantité dans l’organisme féminin.
Les symptômes du sopk apparaissent le plus souvent à l’adolescence, lors de l’arrivée des nouvelles règles. Anomalies du cycle menstruel, hyperpilosité, acné…Ils sont très variables d’une femme à l’autre, et ne sont pas tous ressentis avec la même intensité. La maladie peut se manifester légèrement, jusqu’à devenir très handicapante.
D’autres symptômes du sopk existent comme l’apparition de tâches foncées sur la peau, une humeur dépressive, de l’anxiété, et de l’apnée du sommeil.
La première chose à faire lorsque vous suspectez des symptômes du syndrome des ovaires polykystiques (polykystose ovarienne), est une prise de sang afin de faire un bilan hormonal et métabolique. Dans ce bilan, il y a plusieurs analyses :
Le diagnostic du SOPK est complété par une échographie pelvienne. Saviez-vous qu’au début du cycle menstruel, chaque ovaire contient normalement 5 à 10 follicules d’environ 5mm, et seulement l’un d’entre eux deviendra un ovocyte fécondable. Si vous êtes atteinte du syndrome des ovaires polykystiques, la maturation folliculaire sera bloquée par l’excès d’androgènes. Les follicules immatures vont alors s’accumuler, sans en laisser un devenir un ovocyte. En cas de SOPK, l’échographie va détecter et mettre en évidence de nombreux follicules, (min 20, de diamètre inférieur à 9mm) ou un volume ovarien important, sans présence de kyste ni de follicule dominant.
Si vous avez remarqué des symptômes du syndrome des ovaires polykystiques, nous vous invitons à vous rapprocher d’un professionnel de santé.
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